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Les Affranchies
Articles récents

Vous reprendrez bien un peu de nostalgie?

26 Janvier 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Vous reprendrez bien un peu de nostalgie?

La Vie se charge parfois de vous resservir quelques gouttes de ces souvenirs qui vous plongent un peu dans la nostalgie, douce ou douloureuse... souvent les deux.

Une image, quelques mots et on retrouve soudain l'ambiance d'un moment particulier, la terrasse d'un café à deux pas de Montmartre, la chaleur d'un rayon de soleil de printemps... Des mains serrées, des doigts entrelacés, des baisers, une jeunesse qui s'enfuie...

Cet amour à l'allure de garçon manqué, le regard barré par cette lourde mèche qu'elle chassait doucement d'un mouvement de la tête, son corps d'éphèbe et ses poignets fins alourdis de bracelets et de bijoux, ses lèvres rouges comme un fruit et son cou délicat...

Faut il avoir des regrets ou juste de la tendresse pour ces souvenirs d'un temps merveilleux où tant de choses étaient possibles?

Finalement les regrets ne me vont pas et je préfère te garder dans mon coeur comme petit joyaux, un éclat de bonheur.

 

Photo: Vanessa Jackman

 

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Breaking news!

24 Janvier 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs, #Divers & variés

Breaking news!

C'est toujours délicieux de partager un moment avec Wiebke. La jeune anglaise avait disparue quelques semaines pour retrouver son Albion natale et nous nous sommes retrouvés hier devant une boisson chaude...

J'avais hâte de la revoir, d'autant que la malicieuse avait laissé imaginer un changement un peu radical dans sa coupe de cheveux en lançant un mystérieux : " Bye Wiebke, Hello Sinéad " sur son compte Instagram. Je savais depuis que ce n'était là qu'une déclaration d'intention, néanmoins le sujet demeurait brûlant.

Breaking news!Breaking news!

Avec son enthousiasme et sa fraicheur habituelle, la jeune femme m'avoua qu'elle était à deux doigts de se faire la tête de Sinead O'Connor, que, au dernier moment elle avait eu le trac, mais que depuis l'idée se faisait de plus en plus présente à son esprit.

Personnellement je ne suis pas du genre à décourager ce style d'envie, cependant il faut être honnête et étudier les arguments avec la plus grande objectivité. Wiebke est jeune, belle et la tête bien faite, si elle ne cède pas à cette envie maintenant ce n'est pas à 40 ans qu'elle le fera.

Pourtant je sentais bien que même si j'avais chipoter, sa décision était sur le point d'être prise. Reste que ma british amie ne connaissait pas à Montpellier de coiffeur capable de réaliser son désir...

Je ne suis pas non plus, du genre à laisser une amie avec ce genre de problème sur les bras. Ni une ni deux, nous sommes parti bras dessus bras dessous dans les ruelles de la ville pour rejoindre le salon de mon coiffeur préféré.

Pas question bien sûr de passage à l'acte mais juste la découverte du lieu, vintage à souhait et la rencontre avec Régine, désignée exécutrice de la noble tâche.

L'adorable Wiebke, toujours aussi enthousiaste, ne cessait de chambouler ses mèches blondes, tentant, en les relevant, de se faire une idée, sans doute pour la millième fois, de sa tête avec juste 1/2 cm de cheveux.

L'affaire fut conclue.

C'est donc très bientôt et en exclusivité pour Les Femmes aux cheveux courts que Wiebke pourra cette fois affirmer: " Bye Wiebke, Hello Sinead! "

Breaking news!
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A une femme

23 Janvier 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Divers & variés

A une femme

Enfant ! si j’étais roi, je donnerais l’empire,
Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux
Et ma couronne d’or, et mes bains de porphyre,
Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire,
Pour un regard de vous !

Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes,
Les anges, les démons courbés devant ma loi,
Et le profond chaos aux entrailles fécondes,
L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes,
Pour un baiser de toi !

Victor Hugo

Photo: Paolo Roversi

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Un juste retour des choses...

22 Janvier 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Un juste retour des choses...
Un juste retour des choses...

On peut bien en parler tout de même!

Moi qui suis un invétéré amoureux des Femmes aux cheveux courts, je comprend bien, peut être mieux que personne, qu'on puisse avoir du plaisir à laisser des mains expertes, façonner sa chevelure, la tailler, la ciseler, la tondre parfois et s'en remettre aux choix d'un salon réputé, qui profitera de l'esthétique de son mannequin pour mettre en valeur sa dernière création

C'est ce que fait Wiebke parfois. Wiebke, vous vous rappelez?

Il faut de l'audace et une confiance aveugle... pour supporter après coup, une coupe que l'on a finalement pas choisie.

Mais le secret de la très jolie Wiebke, c'est que au fond, tout cela n'a pas d'importance pour elle. Son désir secret c'est de raser ses cheveux, comme Sinead O'Connor. Et elle peut bien se moquer du reste, ce ne sont pas ses cheveux qui font sa beauté... Ils la soulignent parfois.

En attendant que le courage la submerge et que vaillamment elle offre sa chevelure à la tondeuse de son coiffeur londonien ( ou montpelliérain? ) elle veut bien faire le mannequin et s'offrir de temps en temps la même coupe que Jeanne d'Arc il y a plus de 600 ans. Ce qui de la part d'une anglaise me va droit au coeur...

Modèle: Wiebke Green

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L'amour du travail bien fait

21 Janvier 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

L'amour du travail bien fait

Je crois que tout le monde aime bien couper les cheveux... En tout cas tout le monde aimerait bien ça.

J'ai remarqué ça dès mon plus jeune âge, lorsque je résistais vaillamment , mais inconsciemment, à mon père qui tenait absolument à me voir avec la coupe en brosse d'un jeune garçon digne de ce nom à l'époque. Tout le monde autour de moi, ma soeur aînée, des amies à elle, chacune tentait sa chance en proposant de me couper les cheveux puisque je refusais d'aller chez le coiffeur de mon père, comme s'il s'agissait d'une gourmandise, d'un loisir délicieux.

Moi aussi, plus tard, j'ai aimé ça... Mais sans jamais céder un pouce sur mes principes. Une coupe de cheveux, c'est trop important pour confier ça à n'importe qui! Et en dehors des professionnels de la profession, je n'ai jamais rencontré de personnes suffisamment amoureuses de cet art pour les laisser s'exercer sur ma tête. Donc j'imagine que les autres sont comme moi.

Pourtant, de nos jours, on dirait que tout le monde veut s'y mettre. Pas un foyer où il n'y ait pas aujourd'hui une tondeuse électrique. Seulement voilà, il ne suffit pas d'avoir une boîte de gouache sous la main pour être Léonard de Vinci. C'est sérieux ces choses là! Même pour se faire la tête de Sinead O'Connor, il faut aimer le travail bien fait et ne pas se contenter de "moissonner" la chevelure comme si on tondait la pelouse de tante Adèle... Sinon c'est pas Sinead... c'est moche!

Par contre, quand on a le soucis du détail, qu'on aime l'harmonie qui frôle le presque parfait, qu'on a du goût et une certaine adresse, là oui, on peut savourer ce plaisir étrange et sensuel.

Photo: Bil Brown

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Ne renoncer à rien

20 Janvier 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Ne renoncer à rien

Je me demande parfois si ma voisine ne fait pas exprès, me voyant arriver, d'aborder avec sa commère, des sujets qui le plus souvent me fâchent, ou sinon ne me laissent jamais indifférent.

Je la vois de loin, la bonne femme, appuyée sur le manche de son balai en paille de riz, qui après avoir donné trois coups sur son bout de trottoir, commence à papotter avec le voisinage. Elle connait mon parti pris et c'est comme si elle me provoquait en duel à chaque fois.

J'étais donc ce matin là encombré de mon sac de commissions et de ma baguette de pain frais, lorsqu'elle haussa un peu le ton pour déclarer à sa copine que les femmes qui se coupaient les cheveux trop courts, cela signifiait immanquablement qu'elles renonçaient à quelque chose...

Faisant mine de n'avoir rien perçu de son manège, je m'arrêtais bien sûr, pour m'enquérrir de à quoi diable une femme pouvait-elle bien renoncer en se coupant les cheveux "trop courts".

" Eh bien! A la féminité, à la séduction et donc par conséquant aux hommes..." La faiblesse de l'argument avait de quoi décourager, mais malgré tout je jouais le jeu. " Comme les nonnes qui entrent au couvent vous voulez dire?" Elle parut un peu décontenancée par mon exemple...

"Euh ... Ben oui par exemple. Non mais dans la vie de tout les jours, vous voyez bien, vous en croisez vous, des femmes qui se coupent les cheveux comme des garçons, hein? Eh bien on ne m'enlèvera pas de l'idée que ces femmes là elles renoncent à quelque chose en faisant ça...."

Il y a souvent du bon sens dans l'esprit des gens simples et il serait injuste de ne pas leur reconnaître cette qualité...

" Vous avez raison, je crois." Autant vous dire que ma balyeuse de trottoir s'est mise en mode " qu'est-ce qui m'embrouille lui" dès les premiers mots de ma réponse. "Effectivement, ces femmes là renoncent à une catégorie d'hommes qui n'auraient pas suffisamment d'intelligence et d'ouverture d'esprit pour apprécier une femme authentique et sûre d'elle, c'est vrai. Elles renoncent aussi à écouter tout ces gens qui pensent qu'avoir les cheveux courts vous fait ressembler à un homme, c'est vrai aussi. Elles renoncent à l'image d'une femme traditionnellement soumise aux règles patriarcales d'une société bâtie pour les hommes. C'est pas rien! Elle renoncent à renoncer à leurs envies... Tant de renoncements... Vous avez raison de les plaindre je crois."

Je profitais à ce moment de la bouche bée de mon interlocutrice pour passer le porche et m'engoufrer dans mon immeuble, non sans avoir lancé un jovial " Bonjour chez vous" à la cantonade...

Photo: Soline Rebillard

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Ah la chance!

19 Janvier 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs

Ah la chance!

J'aurais aimé savoir dessiner...

Oui je sais, ça fait un peu début de ( mauvaise ) biographie, des souvenirs, un regret. Mais je n'en suis pas encore là.

Non simplement en voyant certaines oeuvres je me dis que si j'avais su dessiner, j'aurais certainement mis cela au service de ma dilection pour les cheveux courts et les corps androgynes. Tout comme l'écriture, le dessin est le partenaire de l'imagination et j'aurais pu ainsi à loisir faire naître des petites têtes parfaites, des nuques déliées, fines et fortes, bordées de cheveux courts ou largement dénudées, s'élançant au dessus d'épaules plus ou moins frêles...

Cela semble tellement facile lorsqu'on le voit bien fait, donner du reflet à des cheveux de jais, tracer le mouvement de chaque mèche, faire du volume ou en enlever...

Comme un architecte j'aurais bâti les plans, en suivant l'inspiration de mes amies et leur aurait ainsi fierement procurer un modèle, à soumettre à leur coiffeur.

Ou devenu riche et célèbre, j'aurais martelé tout au long de mon oeuvre à travers mes dessins qu'il n'est de femme que les femmes aux cheveux courts, tel un prophète, prosélyte et tyrannique

Mais non, je m'égare et je délire...

J'aurais, juste, aimé savoir dessiner...

Illustration: Elise Bucamp

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L'après midi de Julie

18 Janvier 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Quartier Libre, #Divers & variés

L'après midi de Julie

Quand on voyage, qu'on a une âme d'aventurière et qu'on a pas peur d'aller à la rencontre des autres, on se projète sans vraiment penser aux détails, jusqu'à ce que le quotidien vous les rappelle... Et quand on est une femme aux cheveux courts, ce n'est pas un détail certes, mais arrive un moment où il faut mettre la main sur un bon coiffeur.

Lorsque Ju est arrivée dans ma grande ville du Sud, ce rappel des détails commençait à se faire méchament sentir et le besoin d'une coupe de cheveux lui aussi...

Charitable comme je suis, je n'ai pas hésité longtemps avant de lui donner LA bonne adresse pour se faire couper les cheveux à Montpellier, mon coiffeur.

L'après midi de JulieL'après midi de Julie

Venue de son Nord natal et dans la région pour plusieurs mois, Ju ne semble craindre, rien ni personne. Les voyages ont formé sa jeunesse, de Londres à Los Angeles et de Lille à Montpellier, ce qui, je le sais, ouvre l'esprit bien plus largement que le reste.

Alors donc, ce samedi frais mais ensoleillé, je l'ai guidée dans les ruelles animées de la ville, jusqu'entre les mains expertes de Régine, à qui elle s'est confiée après avoir exprimé ses désirs...

L'après midi de JulieL'après midi de JulieL'après midi de Julie

Envie de légèreté, d'oreilles bien dégagée et de nuque fraîchement taillée, Régine a su comme d'habitude, capter l'envie de Julie, tondant par ici, desépaississant là et taillant une coupe boyish à souhait selon le style qu'elle affectionne.

Une demi heure et une poignée d'euros plus tard, Julie sortait de là comme après une cure de vitamine, rayonnante, visiblement satisfaite de son allure et de ce premier rendez vous dans un salon "pour hommes"

L'après midi de JulieL'après midi de Julie

Habituellement, 99% des jeunes femmes, à cet instant, passent la main sur leur nuque tondue et affichent un sourire de contentement qui me ravi. Eh bien Julie est le 1% restant. Sa préoccupation à elle se trouve dans la mèche qui balaie son front... et rien d'autre. Non, si, elle est contente, très contente même, du reste, mais son truc c'est la masse de cheveux au dessus et sur son front... C'est comme ça!

Admirable Julie, pleine d'audace et de détermination, capable de s'aventurer dans une ville inconnue, confier sa tête à une personne toute aussi inconnue ( mais recommandée ) et qui avoue devant une boisson chaude manquer de confiance en elle... Admirable je vous dis!

L'après midi de Julie

Merci pour ce moment... 

Ksalon, 6 rue du Petit St Jean, Montpellier

Photo: Myself

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Ne rien manquer

17 Janvier 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Humeurs, #Tendresses

Ne rien manquer

C'est un peu comme le reflet infini du miroir dans le miroir, lorsque le photographe fait une photo de photographe qui elle même photographie...

Mais il y a parfois dans le cliché autre chose qu'un simple jeu de miroir, un simple jeu espiègle et malicieux. Si l'on regarde bien il y a aussi de l'amour, ou de l'affection, enfin un sentiment révélé, une envie discrète de dire les choses, l'admiration, le désir peut être?

Ou juste un plaisir d'esthète, une envie de saisir les courbes et les plis, le revers d'une manche, l'ornement d'une oreille, la nudité d'une nuque... trouver admirable le mouvement d'une chevelure, aussi courte soit-elle, aimer l'émergence d'un cou, fin et robuste, d'un col échancré.

Et puis sourire, rassuré d'avoir saisi cet instant, cette image qui toujours fera renaître, en la regardant, le même sentiment, d'affection, d'amour ou le plaisir simple de l'esthète.

Photo: Elise Bucamp

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Un Quartier Libre de mère en fille

16 Janvier 2015 , Rédigé par jeaneg Publié dans #Quartier Libre

Un Quartier Libre de mère en fille

Il y a deux ans de cela, à la suite d'une rupture amoureuse, Séléna décide de se couper les cheveux. Une réaction classique et bien connue, changer de tête pour tourner la page, jusque là rien de très original...

Si Séléna avait les cheveux longs, c'est simplement parce qu'elle n'avait jamais songé à les couper. Aucun a priori, aucune volonté de "préserver" un quelconque atout de féminité, non. Sa féminité est naturelle, innée. Elle tient ça certainement de sa mère Patricia et aussi loin qu'elle se souvienne, Séléna ne l'a jamais connu autrement qu'avec les cheveux courts...

Un Quartier Libre de mère en fille

Cependant, autre effet bien connu, après cette première coupe au carré, Séléna ne tarde pas à sentir le besoin de les couper plus courts, jusqu'à rejoindre l'image de Patricia, qui elle les porte très courts. On pourrait imaginer qu'il ne s'agit que de simple mimétisme...

De cette "transformation" la jeune femme dira qu'elle représente une sorte de rituel de passage, une étape dans sa vie de femme, entre l'adolescence et l'âge adulte. Les circonstances, le déclencheur sont bien moins importants que la volonté d'aller à la rencontre d'elle même, de se découvrir "vraie"!

Et celle qui n'était qu'une très belle jeune fille, brillante, élégante et ... un peu banale, devient une femme brillante, élégante, authentique et remarquable. Mais ce que sans doute elle n'imaginait pas en accompagnant Patricia chez ses amies coiffeuses, en exprimant son côté "aventurière" elle mettait sans doute ses pas dans les pas de sa mère.

Un Quartier Libre de mère en filleUn Quartier Libre de mère en fille

Parce que sa mère est une aventurière à sa façon et il faut l'être quand la Vie vous bouscule. Dans les années 80 lorsqu'elle entre à l'Ecole de Police, c'est presque un sacerdoce pour elle. Pour l'occasion elle a coupé ses cheveux, ce qui ne ravit pas tout son entourage, mais qu'importe, elle a décidé de prendre les commandes de sa vie.

Cette envie d'aventure on le retrouve chez Séléna, qui rêve de parcourir le monde, pour qui les études, l'avenir, sont indissociables de la cuisine, sa passion.

Mais alors que Patricia n'a guère changé le style de la coupe qu'elle a adopté depuis longtemps, Séléna, elle, explore encore différentes longueurs avec la complicité des coiffeuses dont elle expérimente le talent.

Un Quartier Libre de mère en filleUn Quartier Libre de mère en fille
Un Quartier Libre de mère en filleUn Quartier Libre de mère en fille

Sûre de sa féminité, aujourd'hui, la tondeuse qui rase sa nuque ne lui fait pas peur, au contraire, elle avoue adorer la sensation.

" Les femmes aux cheveux courts attirent certains hommes qui sont en général, plus "open", plus intelligents. C'est un bon filtre pour s'épargner bon nombre de "relous""

Un Quartier Libre de mère en fille
Un Quartier Libre de mère en fille

La mère et la fille, élégantes femmes aux cheveux courts, complices depuis toujours, se retrouvent finalement aussi dans leur image, déterminées et volontaires et c'est bien plus qu'une simple histoire de coupe de cheveux...

Je voudrais les remercier, l'une et l'autre d'avoir accepté de se raconter et d'être des fidèles de ce blog

Photos: Séléna S. et Patricia I.

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